Grimper sur des lambeaux de lumière 4

La vie est ponctuée de choix décisifs. On ne choisit pas ce qui nous arrive, mais ce qu’on va faire des événements heureux ou malheureux qui nous tombent dessus. C’est ainsi que nous nous construisons. 

Dans Grimper sur des lambeaux de lumière, je veux apporter un éclairage particulier sur la formation de notre identité qu’il faut arracher de ce que les autres attendent de nous.

Je raconte l’aventure passionnante, je crois, de la recherche de soi, du refus du mensonge, de l’expérience de l’amour et de la beauté. 

La liberté n’existe pas avant qu’on l’exerce ; ce qui existe avant notre liberté, c’est la dictature des autres à laquelle il faut se soustraire pour arriver à une humanité viable.

À l’heure critique des choix que nous devons faire, nous « les secoués du climat et du déchirement social », mon essai parie sur la possibilité d’unir la lucidité à l’espoir, la pensée à l’action, la résistance à la sérénité.

Quelques citations :

Vis d’abord et ensuite, essaie de comprendre. Jamais l’inverse.

Rien n’est une chose plantée n’importe comment en ce monde, tout est une réponse. Mais les réponses ne se révèle jamais avant les questions. Penser, c’est questionner.

Nous sommes l’interface entre la nature intérieure et la nature extérieure, mais une interface qui se veut.

La confiance, c’est le seul pendant de l’ignorance qui peut nous faire avancer dans l’obscurité.

Le vieillard, pour autant que la vie lui ait arraché ses illusions, se retrouve à égalité avec l’enfant. Ils sont tous les deux assis sur la terre des chenilles et des grenouilles.

Si ce monde n’était pas là, devant vos yeux, personne ne pourrait croire que d’une explosion primordiale est sortie une planète comme la nôtre.

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