Grimper sur des lambeaux de lumière

Je suis de retour de vacances.

Premièrement, Maman va mal, paru dans mon blogue était de Martin Bouchard. Merci beaucoup pour son très beau texte.

Deuxièmement, dans les prochains blogues je vais vous parler de mon prochain livre, Grimper sur des lambeaux de lumière, qui paraîtra le 30 août. Au début, je voulais faire un essai sur l’identité. Avouons-le, l’humanité s’est drôlement empêtré dans ce gouffre. Identité de genre, identité nationale, culturelle, religieuse, etc., tant de passions, de guerres, d’incompréhensions… Tout en écrivant sur le développement de l’identité, je n’avais pas meilleurs exemples que ceux de ma vie, si bien que je n’écrivais plus un essai, mais une sorte de cahier des moments décisifs dans lesquels s’est forgée mon identité. L’intérêt est surtout de montrer que l’identité est œuvre à plusieurs mains : celles de l’extérieur qui boxent contre nous ou nous caressent, celles de l’intérieur qui résistent, cèdent, décident. Le résultat est hybride, adaptatif, évolutif, rien à voir avec une forme qu’on découvre, mais avec un devenir qui s’affranchit. Nous sommes le résultat de relations que nous fermons et que nous ouvrons. La trame est de nous, du moins si un jour nous avons décidé de répondre à nos désirs les plus sincères et non aux attentes les plus criants de tous, chacun et l’économie en particulier. 

Une réflexion sur “Grimper sur des lambeaux de lumière

Laisser un commentaire